Le CHU de Bejaia en collaboration avec le Service de médecine interne, organise à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète le 14 novembre


Le 13-11-2022

Le CHU de Bejaia en collaboration avec le Service de médecine interne, organise à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète le 14 novembre sous le slogan "Vivre avec le diabète", une campagne de 03 jours, le 14, 15 et 16 novembre 2022 à partir de 9h00, au niveau du centre d’Imagerie Médicale du CHU de Bejaia, pour le dépistage et la sensibilisation à l'importance du diagnostic précoce de cette maladie.

Également au CHU

Condoléance.

' Très attristé par le décès de Docteur AZIBI Farid, Directeur de l’EPSP de Bejaia, le Directeur Général du CHU de Bejaia, ainsi que l’ensemble du personnel Administratif , Médical et Paramédical tiennent à présenter leurs sincères condoléances à toute la famille de défunt. La levée de corps aura lieu demain, le 22 Mars 2018 à son domicile sis à Tala Merkha, commune de Bejaia. À Dieu nous appartenons et à lui nous retournerons. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 22-03-2018

Poème de Monsieur CHOURAR Said, dédié à tout le personnel du CHU de Bejaia

' « Une nuit à l’Hôpital Khellil Amrane de Bejaia » Dans cet Hôpital, vous serez accueillis avec le sourire et l’amabilité des agents vous donnera tout le plaisir. Ils se mettront à votre service avec un tel dévouement que vous oublierez votre présence là et ses tourments. En allant dans les services, des hommes et des femmes, en blouses, travaillent à sauver des petites âmes Infirmières infirmiers techniciens et de fiers médecins vous donnent cette idée que vous êtes avec des saints. L’affabilité, la courtoisie et le sérieux font leur richesse et en une nuit, mon frêle cœur s’est extasié à l’ivresse. Les malades sont pris e charge dans la totales douceur et je le voyais sur leurs visages qui reprennent couleurs. Je salue tous les responsables de cette belle structure qui sont en train d’asseoir la grande médecine du futur. Les enfants de Bejaia doivent tirer fierté de leur histoire et montrer au pays qu’ils sont porteurs de nos espoirs. Signé : CHOURAR Said. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 13-03-2018

Invitation / Célébration de la Journée internationale de la femme.

' "La femme Algérienne dans les services de la santé à travers" A l’occasion de la journée internationale de la femme, célébrée le 8 Mars de chaque année, les employées du CHUB sont conviées à honorer par leur présence les festivités prévues à cet effet. Cette manifestation sera organisée par le CHU de Bejaia en collaboration avec la commission des œuvres sociales et elle aura lieu le Jeudi 08 Mars 2018 à 14 heures au niveau de l’Unité Hospitalo-universitaire Ait Mokhtar, Targa Ouzemour. Soyez au rendez vous. Programme • 14h00-14h20: Accueil des participants. • 14h20-14h30 : Ouverture de la demi journée avec prise de parole des officiels. • 14h30- 15h00 : « La femme Algérienne dans les services de santé à travers le temps», intervention de grand moudjahid Si Djoudi ATTOUMI, Ex Directeur des services de santé et premier Directeur de l’Hôpital Frantz Fanon. • 15h00-15h15 : Témoignage de Mme CHEBBAH Fatma dite « Bibicha », Infirmière de la Wilaya III et II historique. • 15h15-15h30 : Témoignage de Mme BOURAS celle qui manie les armes mieux que les hommes. • 15h30-16h00 : Distribution des Attestations et des cadeaux. • 16h00-17h00 : Chansons diverses avec le grand Djamel ALLAM et Badadi (Ferhat). • 17h00 : Clôture de la manifestation par le Président de l’APW de Bejaia. Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 06-03-2018

« La femme Algérienne dans les services de santé à travers le temps ».

' Contribution exclusive de Si Djoudi ATTOUMI, Officier de l’ALN, Historien et Ex Directeur des Services de Santé, dédiée à toutes les employées du CHU de Bejaia à l’occasion du 08 Mars 2018. La femme algérienne a réussi à briser sa coquille pour conquérir sa place dans les services de santé, principalement au lendemain de la deuxième guerre mondiale. Malgré les conditions défavorables de leur statut, quelques jeunes filles ont réussi à arracher leur place au sein des universités françaises, comme le Dr. Nefissa Hamoud qui deviendra le premier médecin chef de la Wilaya III dès le début de 1956, mais surtout au sein de certaines écoles paramédicales de Constantine, de Sétif, d'Alger, de Blida, d'Oran, de Ain El Hammam... Plusieurs d'entre elles allaient émerger et jouer un rôle important au sein de notre guerre de libération. Nous pouvons citer Benmahmoud Akila, Merieme Bouattoura, Louisa Attouche(en vie), Malika Gaid, Larbi Fifi (en vie) etc... Au déclenchement de la guerre de libération , ces jeunes filles rejoignirent les maquis pour la plupart. Mues par l'amour de la patrie, elles ne pouvaient rester à l'écart de la lutte du peuple algérien. Malgré leur condition féminine, elles ont accepté de se sacrifier aux côtés de leurs frères moudjahidin. Parmi ces braves, nous pouvons citer en Kabylie Louisa Attouche, Drifa Attif, Fifi, Danielle Mine Amrane, Aicha Haddad, Malika Gaid, Raymonde Peschard, Fifi, Harchi Messaouda, Beladjila Fatma Zohra, Meriem Bouattoura, Chebah Fatma dite "bibicha" et tant d'autres. Dès les premiers jours de la guerre, les maquis avaient un besoin crucial en personnel soignant. Les moudjahidine et les civils blessés manquaient de soins ou furent dirigés clandestinement dans certains cabinets médicaux ou l'on faisait venir des médecins algériens et quelques rares français pour faire face à cette nouvelle discipline qui est la chirurgie de guerre. L'arrivée de ces jeunes infirmières au sein des services de santé de l'ALN constituaient une aide appréciable pour les responsables sanitaires. Des infirmeries furent implantées un peu partout; chaque douar devait recevoir cette structure pour répondre aux besoins des malades et des blessés de guerre. Si elles n'étaient pas légion dans les maquis, elles vinrent renforcer les infirmiers formés sur place par les Dr. Laliam Mustapha, Mohamed Boudaoud, Nefissa Hamoud, Belhocine et Ahmed Benabid le dernier médecin-chef de la Wilaya III. Leur mission consistait à aller au devant des blessés et des malades pour leur prodiguer les premiers soins avant de les orienter vers les infirmeries où ils peuvent trouver un médecin pour des soins plus compétents. Il fallait surtout faire face à l'urgence. En plus, elles faisaient des tournées à travers les villages en milieu rural pour soigner les malades, réunir les femmes pour prodiguer des soins et des conseils sur ce qu'on appelle aujourd'hui l'éducation sanitaire; Elles furent d'un grand apport pour le développement des services de santé de l'ALN. Cependant, leur mission ne fut pas de longue durée, car à l'approche des grandes opérations ennemies, le colonel Amirouche a préféré leur épargner le choc des durs affrontements entre les soldats et les moudjahidine en prévision des opérations Challe. Vulnérables qu'elles étaient de par leur condition féminine, elles furent dirigées sur la Tunisie. Malheureusement, l'ennemi étant toujours aux aguets, leur convoi fut intercepté à Draa Erih (Bordj Bou Arreridj) le 6 septembre 1957; Raymonde Pescard et le Dr. Belhocine furent tués, les Dr. Nefissa Hamoud et Laliam Mustapha furent capturés, ainsi que Djamila Danielle Amrane. Malika Gaid tomba au champ d'honneur en 1958 dans la région de Mechdallah en essayant de protéger ses blessés, alors que Louisa Attouche, Attif Drifa et Aicha Haddad furent capturées. Depuis cette date, les services de santé de l'ALN furent assurés courageusement par des infirmiers de l'ALN en bravant toutes les insuffisances, comme l'absence de médicaments, de matériel et d'un potentiel humain compétent. Ils méritent tous notre reconnaissance d'avoir fait face à tous les besoins, à chaque fois qu'ils sont sollicités, et ce jusqu'à la fin de la guerre. Aujourd'hui, toutes ces femmes et tous ces hommes qui ont eu à braver l'ennemi, un ennemi barbare et sans aucun sentiment méritent notre profond hommage. Combien de blessés furent achevés, que ce soit sur les lieux des combats ou dans des centres de tortures ? Combien d'infirmières et d'infirmiers sont tombés en essayant de protéger leurs blessés. L'Histoire de notre guerre de libération finira par les montrer au grand jour. Signé : Djoudi ATTOUMI. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia'

CHU Béjaia Le 05-03-2018

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