#APPEL_A_CANDIDATURE


Le 09-05-2022

#APPEL_A_CANDIDATURE
Formation Post-graduée en Sciences Médicales (CES)

Il est porté à la connaissance des Médecins Généralistes du #CHU_de_Bejaia que la Direction de la formation du Ministère de la Santé, lance un appel à candidature pour une formation post-graduée spécialisée en sciences médicales (C.E.S) dans les filières suivantes ;
• Médecine d’urgence
• Diabétologie
• Obstétrique
• Hygiène et épidémiologie hospitalière
• Maladies émergentes et ré-émergentes
• Addictologie
Ces cycles de formation, sanctionnés par un certificat d’études spécialisées en sciences médicales, sont ouverts aux candidats titulaires du diplôme en sciences médicales (médecine générale) et exerçant dans un établissement de santé publique.
Les intéressés sont invités de se rapprocher à la Sous Direction de la Formation du CHU de Bejaia, pour récupérer le formulaire de candidature à remplir et à déposer au plus tard, le jeudi le 26 Mai 2022.

Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.

Également au CHU

17ème mission de Coopération entre le CHU de Bejaia-CHU de Saint Etienne. 11 Patients opérés

' La coopération bilatérale entre le CHU de Bejaia et de Saint Etienne (France) continue son rythme de progression dans le cadre de la formation et d’échange d’expériences. Durant la semaine du 11 au 18 Mai, le Professeur Hassan ALKHOURY SALEM, Chirurgien Pédiatre Spécialisé en Orthopédie Pédiatrique, les Chirurgiens Pédiatres du CHUB ainsi que l’équipe du Bloc Opératoire Khellil Amrane ont réussi à opérer onze (11) enfants porteurs de pathologies variées. Pendant la séance d’évaluation et de synthèse de l’activité, le Professeur ALKHOURI a signalé que le CHU de Bejaia dispose d’un potentiel humain très qualifié, selon lui, capable de relever les défis. Il a apprécié l’esprit d’équipe qui règne dans le Service de la Chirurgie Pédiatrique du CHUB. Le Dr SAHI Bachir, chargé de la coopération, a remercié tous les médecins et les intervenants stéphanois qui ont marqué leur passage au CHUB et qui ont pu matérialiser plusieurs initiatives à ce jour, depuis la mission d’exploration de 2014. Il s’est montré satisfait des résultats obtenus. « C’est maintenant qu’on commence à fructifier et à sentir le fruit de la coopération » ; avance t’il. Pour mieux gérer, maitriser et avoir une cartographie globale des risques, le Docteur SAHI a souhaité que les Etablissements de Santé Algériens soient dotés des Directions dédiées à la qualité. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia'

CHU Béjaia Le 22-05-2018

Jumelage CHU de Bejaia, EPH Kherrata 130 Patients seront opérés

' Consolation pour les patients de la région de Kherrata et sa périphérie qui ont tant attendu pour être opérés, ce jumelage répond à leurs attentes dont 130 seront opérés. En effet, grâce à la mobilisation des équipes pluridisciplinaires, de l’EPH de Kherrata coordonnées par le Dr ZAIDI Loutfia, Chirurgienne et « commandant de bord » et du CHU de Bejaia coordonnées par le Professeur Salah BERKANE, Chef de Service de Chirurgie Générale et du Madame GADOUM Naima, Auxiliaire Médicale en Anesthésie et Réanimation (AMAR), ces équipes déterminées et engagées dans la bienfaisance ont honoré la famille de la santé. Cette action humanitaire a vu la contribution d’autres équipes de la wilaya à savoir, les AMAR retraités ainsi que certains chirurgiens d’autres wilayas : Alger, Setif et Annaba. La manifestation Médico-scientifique coïncide avec la commémoration des massacres du 08 Mai 1945 à Kherrata. Elle sera clôturée par la première journée médico-chirurgicale de l’EPH de Kherrata ou seront présentées huit communications orales, ci-joint programme. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia'

CHU Béjaia Le 10-05-2018

Colloque international sur "le Bonheur au travail" Le CHU de Bejaia invité d’honneur.

' Une forte délégation composée de 25 fonctionnaires du CHU de Bejaia, tout corps confondu, a marqué sa participation aux travaux du congrès international intitulé « le bonheur au travail », organisé conjointement par SAB Solutions et l’APW d’Alger, sous le haut patronage de Messieurs, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Monsieur, le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale et de Monsieur le Ministre de la Santé, de la Population et e la Réforme Hospitalière. Ce colloque organisé d’une main de maître par Madame Sabah El Isslah M’RAKACH, Directrice Générale de SAB Solutions et de Monsieur Karim BENNOUR, Président de l’APW d’Alger, a vu la participation d’éminents experts Algériens et Etrangers à l’image de Monsieur J.L TRUELLE, Professeur Émérite en Neurologie à l’Hôpital la pitié Salpetrière de Paris et Monsieur Christian Lucas, Neurologue, responsable du Centre d’Evaluation et de Traitement de la douleur de Lille (France), Pr Hayette BENMASSAOUD, Pr Cherifa IDDER LAIB, Pr BELAID, Pr Salah SAHEL, Docteur Djalila RAHALI, mais aussi, le Docteur LOUZE et Monsieur H. KRIDI, Vices Président d’APW d’Alger ainsi que Monsieur GUENDOUZ, Directeur de l’EHS Cherraga, Ces orateurs, ont évoqué des questions liées aux cas de harcèlement au travail, évaluation des performances des travailleurs et leurs attentes dans le domaine de la santé, surtout que les partenaires sociaux des différentes formations syndicales étaient présents. L’événement unique en son genre en Algérie, tente à mettre en lumière les conditions de travail et la vie des salariés dans leur milieu d’exercice. C’est un espace de débat et de réflexion qui englobe les professionnels concernés par la problématique. Le choix du CHU de Bejaia pour être l’invité d’honneur de cette deuxième édition est motivé par l’esprit managérial qui y règne et l’importance accordée à l’aspect relationnel par les dirigeants de cet établissement de santé, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur. L’exposition des tableaux de peinture, œuvres de Naima MEZIANI, Mascotte du CHUB, a donné une touche particulière à la manifestion. Elle a été d’ailleurs, retenue comme Doyenne pour le prochain colloque international intitulé « Handicap, Art et Travail ». Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia'

CHU Béjaia Le 07-05-2018

Journées internationales d’infectiologie L’Algérie, cinquième consommateur d’antibiotiques dans le monde

'Journées internationales d’infectiologie L’Algérie, cinquième consommateur d’antibiotiques dans le monde Les antibiotiques inquiètent de nos jours plus qu’ils ne rassurent en raison des résistances que leur opposent de plus en plus les bactéries qui détruisent leurs effets. La thématique est mondiale et préoccupe les spécialistes qui en ont débattu pendant deux jours, samedi et dimanche, à l’occasion des deuxièmes Journées internationales d’infectiologie organisées par le CHU de Béjaïa au campus d’Aboudaou. Les résistances aux antibiotiques ou aux antibactériens ne datent pas d’aujourd’hui mais de quelque huit décennies et ont induit la réémergence de maladies infectieuses depuis au moins les vingt dernières années de par le monde. Ce qui explique en partie la difficulté qu’ont les gouvernements à éradiquer certaines maladies comme le paludisme. L’automédication et l’usage abusif des antibiotiques sont parmi les causes qui ont amené les bactéries à développer une sorte d’immunité aux antibactériens et à rendre les traitements inefficaces dans beaucoup de cas, voire à imposer «une impasse thérapeutique». Aujourd’hui, les spécialistes parlent de RAM, Résistance antimicrobienne. Les conséquences des RAM sont multiples et menaçantes autant pour notre pays que pour le reste du monde. Le Pr Smaïl Mesbah, président de la Société algérienne des maladies infectieuses, ne cache pas son inquiétude. «C’est un véritable cauchemar», dit-il entre deux diapositifs de sa communication sur le marché des antibiotiques en Algérie. 25% des décès dans le monde sont dus à des maladies infectieuses et ce n’est pas toujours faute de moyens, les résistances à l’antibiothérapie y sont pour quelque chose. Selon les chiffres de l’OMS, répercutés par le Pr Mesbah, les principales causes des décès «dans les pays à faible revenu», en Asie du Sud-Est et en Afrique, sont à 45% en rapport avec les maladies infectieuses. Le risque est d’autant plus sérieux qu’il promet de prendre des proportions plus alarmantes à l’avenir. A l’horizon 2050, l’impact des RAM sera encore plus lourd : 10 millions de décès par an, dont 4,1 millions en Afrique et 4,7 millions en Asie. Les prévisions mondiales donnent les RAM comme «première cause de mortalité humaine», loin derrière les cancers, les maladies cardio-vasculaires et la malnutrition. L’alerte est donnée dans plusieurs pays, y compris les plus industrialisés, sur ce problème mondial de résistance aux médicaments qui a favorisé l’émergence de 330 maladies entre 1940 et 2004. Un plan de lutte «Si nous n'agissons pas, nous envisageons un scénario presque impensable où les antibiotiques ne fonctionneront plus et où nous serons rejetés dans l'âge sombre de la médecine», avait alerté l’ancien Premier ministre britannique David Cameron. L’OMS a fait le constat que «la résistance aux antimicrobiens est un phénomène qu’on constate partout dans le monde qui menace notre capacité à traiter les maladies infectieuses et compromet de nombreuses avancées médicales et de santé publique». Un plan de lutte contre les RAM a été adopté en 2015 et auquel l’Algérie a adhéré en créant un comité multisectoriel. Mais au sein de nos infectiologues, on n’estime pas moins qu’il y a urgence à prendre des mesures concrètes. Et pour cause. «Il y a surconsommation des antibiotiques en Algérie», s’accordent à dire les spécialistes. L’Algérie est le 5e plus grand pays consommateur d’antibiotiques dans le monde, derrière respectivement la Turquie, la Tunisie, l’Espagne et la Grèce, et juste devant la Roumanie, la Belgique et la France. Si l’Algérien est grand consommateur d’antibiotiques, c’est moins par automédication que par prescription médicale, la plupart des 9600 pharmacies d’officine du pays se refusant à servir ce genre de médicaments sans ordonnance. La direction de la CNAS avait annoncé dans la presse nationale avoir remboursé en 2016 l’équivalent de presque 58 millions de boîtes de traitement d'antibiotiques, soit le gros montant de 18 milliards de dinars. La Caisse rembourse 133 produits d’infectiologie, dont la pénicilline et l'Amoxicilline. La facture globale du médicament en Algérie pèse trois milliards d’euros par an, selon les chiffres du ministère de la Santé. Nous fabriquons localement l’équivalent d'un milliard d’euros, et nous importons donc l’équivalent de 55% de nos besoins en médicaments. Selon les statistiques avancées par le Pr Mesbah, l’industrie pharmaceutique algérienne tient à 147 unités de production, «dépendant en partie de l’importation malgré incitation et encouragement de la production du générique». Cette dépendance à l’importation nous maintient en relation avec l’industrie pharmaceutique mondiale qui est en croissance et que l’usage abusif des antibiotiques ne peut qu’arranger. En 2015, un chiffre d’affaires de 1072 milliards de dollars a été réalisé dans le marché pharmaceutique dans le monde. Il a triplé au bout d’une douzaine d’années. Enjeux Dans le monde, on a dépensé en 2015 pour 38 milliards de dollars d’antibiotiques, des médicaments qui n’ont pas connu d’innovation ces dernières années. Entre 2008 et 2012, deux nouveaux antibiotiques seulement ont été mis sur le marché. Ce qui revient à dire qu’au vu des RAM, il y a dans la lourde facture de médicaments une part d’inutilité et, donc, de gaspillage. «En 50 ans, seules deux nouvelles classes d’antibiotiques sont apparues sur le marché. Avec si peu d’antibiotiques dans le pipeline, le monde se dirige vers une ère où une simple infection aura des conséquences fatales», déclarait en 2016 le Dr Margaret Chan, directeur général de l’OMS, repris par le Pr Mesbah. L’Algérie, qui accuse forcément les contrecoups de la situation mondiale, vit aussi avec ses contraintes dont celles d’ordre économique. Sur les 357 produits interdits à l’importation figurent 37 antibiotiques dont la liste est donnée dans le Journal officiel du 29 octobre 2017. D’autres ont, par contre, disparu du marché pour diverses raisons que ne maîtrise pas toujours l’Etat, comme le retrait du produit par l’opérateur privé pour des considérations purement commerciales. «Non retour d’investissement», explique le Pr Mesbah. «En tant que société savante, nous devons jouer notre rôle de lanceur d’alerte», déclare à El Watan le Pr Mesbah qui constate que le marché des antibiotiques est «peu connu en termes de besoins et de consommation, peu encadré en termes de référentiel de prescription, peu cohérent en termes d’offre, même si des efforts appréciables ont été consentis ces dernières années». Parmi ses recommandations, il plaide pour la «nécessité d’une révision stratégique de l’approche nationale», en allant vers des «consensus thérapeutiques» et en définissant «une nomenclature basée sur les besoins et déclinée selon les niveaux d’utilisation». Face aux enjeux, il y a urgence, selon lui, à lancer «un véritable programme de communication et sensibilisation sur le bon usage des ATB, [une] formation sur les bonnes pratiques de prescription…». L’inquiétude est partagée par les praticiens, notamment les infectiologues comme le Pr Nouasria, du CHU de Béjaïa, qui invite à s’intéresser aussi à l’usage des antibiotiques dans le monde de l’élevage d’animaux, avicole notamment. «Nous ne savons rien des filières animales», dit-il, invitant, à l’occasion, à ouvrir le grand chantier de la sensibilisation. Par; Kamel Medjdoub, El Watan du 05.05.2018. Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel.'

CHU Béjaia Le 06-05-2018

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